L’AUTRE (4e partie)
6 avril 2016
Abdoulaye a pris sa chéchia à la volée et a bondi hors du café en disant qu’il préférait ses musiques d’amour, ses matches de football à ces prêches qui ont, tous, l’air d’un jour du jugement dernier. Qui, au lieu de prêcher l’amour de l’humain, créent avec leurs vitriols une brochette d’exaltés, de fanatiques, d’illuminés. Il se sentait l’humour maussade, avait encore à la mémoire la rixe des trois gamins…