Je « rappe », donc je suis…( troisième partie)
En proie à l’affliction, elle franchit la lourde de sa chambre semblable à un box, s’arrêta près du lit ; ses yeux, immobiles, fixaient un poster sur lequel on reconnaissait Tupac, la tête ceinte par un foulard, les bras croisés sur le ventre, la tête penchée vers la droite, le regard vif… Tupac habitait son rêve, la hantait. – Non, mon père ne va pas me lourder…